La résistance palestinienne du Hamas cible les pillards
Aujourd’hui lundi 18/11, lors d’une opération importante, la résistance palestinienne a pris pour cible un groupe de malfaiteurs opérant à Gaza, collaborant avec le Shin Bet et attaquant des convois d’aide humanitaire.
Plus tôt cette semaine, il a été révélé que malgré les pressions internationales, les forces d’occupation ont autorisé un convoi de camions d’aide humanitaire à entrer dans Gaza, mais l’ennemi sioniste a employé des mercenaires pour attaquer, piller et vendre ou utiliser les fournitures.
Sur l’image que vous voyez, dans le cercle rouge, un combattant de la résistance palestinienne a tiré un missile antichar sur un véhicule transportant l’un des plus grands gangs criminels collaborant avec l’occupation dans le sud de la bande de Gaza.
Ce gang était responsable du vol de 109 camions d’aide sur 150 hier seulement. Tous les occupants du véhicule ont été tués par la résistance.
La nuit dernière, c’était 22 criminels appartenant à des gangs soutenus par l’occupation et des marchands de guerre qui ont été tués par les héros de l’unité Sahm.
L’embuscade a été menée en coopération avec les comités tribaux et avec la bénédiction des factions palestiniennes après surveillance des communications entre les bandits et le Shin Bet israélien.
L’un des tués était le membre le plus haut gradé de ces gangs dans le sud et se trouvait à l’intérieur du véhicule ciblé.
Une unité spéciale de la résistance palestinienne a intercepté des communications dans la bande de Gaza entre des gangs responsables du pillage des camions d’aide humanitaire et les forces d’occupation nazi-sionistes, révélant leur collaboration pour coordonner les vols, orienter les actions criminelles et leur fournir une couverture sécuritaire assurée par des officiers du Shin Bet. Ces écoutes ont permis à la résistance d’identifier les responsables, aboutissant à une opération d’envergure qui a conduit à la neutralisation de plus de 20 personnes impliquées dans ces pillages et leur collaboration avec l’occupation.
En Algérie également, il n’y avait aucune pitié pour les harkis.
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