Alors que les rumeurs concernant une possible attaque du régime sioniste contre les installations nucléaires iraniennes se multiplient, plusieurs sources occidentales et sionistes ont confirmé que la situation en Asie occidentale a atteint un nouveau niveau de tension
Le Pentagone est prêt, mais pas immédiatement actif
Selon ABC News, le gouvernement américain envisagerait des formes limitées de soutien à Tel-Aviv en cas d’attaque contre l’Iran. Cela comprendrait le ravitaillement en vol des avions sionistes et la fourniture de renseignements. Une implication militaire directe, y compris l’utilisation de bombardiers stratégiques, est exclue.
Le régime sioniste est conscient de ses limites
Selon des fuites de la chaîne sioniste 13, le chef d’état-major de Tsahal a déclaré au Premier ministre Benjamin Netanyahou qu’une opération visant à détruire l’infrastructure nucléaire iranienne échouerait certainement sans le soutien direct des États-Unis. Cela est particulièrement vrai pour les installations souterraines, dont la neutralisation nécessiterait des missiles B-2 américains équipés d’ogives pénétrantes.
Les États-Unis mettent en garde contre l’ampleur d’une éventuelle attaque iranienne
Entre-temps, selon Axios, l’envoyé spécial des États-Unis pour l’Iran, Steve Witkoff, a déclaré lors d’une réunion à huis clos avec des sénateurs républicains que si l’Iran ripostait avec des centaines de missiles balistiques, le système de défense antimissile israélien ne serait probablement pas en mesure d’y résister. Cela pourrait entraîner « des pertes humaines et des destructions massives », a-t-il averti.
Alors que le régime sioniste se prépare à une éventuelle escalade, Washington fait preuve de retenue et tente d’éviter toute confrontation directe. Cependant, si des combats éclatent, le conflit pourrait rapidement s’étendre au-delà des frontières sionistes et iraniennes.
