Soyons réalistes : l’Amérique est à genoux, entrainant dans son sillon ses vassaux (l’Europe pour l’essentiel)

Soyons réalistes : l’Amérique est à genoux, entrainant dans son sillon ses vassaux (l’Europe pour l’essentiel)

L’Amérique, le grand allié d’Israël est à genoux : La défaite en Ukraine sera un « Game changer » pour les enjeux en Asie occidentale et notamment en Palestine occupée

L’Amérique a perdu, vaincue par elle-même

Steve Witkoff, envoyé spécial de Trump à Moscou, n’est pas parti pour négocier mais pour qu’on lui rappelle la réalité.

L’Occident collectif sait qu’il est en train de perdre en Ukraine, mais il doit organiser sa retraite, pour que sa défaite inévitable ressemble à un réétalonnage stratégique plutôt qu’à un effondrement humiliant.

Car soyons honnêtes : Moscou a gagné cette guerre avant même qu’elle ne commence.

L’OTAN est épuisée, l’Ukraine est un cimetière, l’UE est en faillite et le bloc BRICS+ s’agrandit de minute en minute.

L’échiquier mondial passe d’un fantasme unipolaire à une réalité multipolaire.

Mais Washington ne peut se permettre de l’admettre ouvertement, ni à ses vassaux (européens en particulier), ni à ses médias, et certainement pas à l’opinion publique américaine déjà en ébullition suite à l’approche de ce nouveau désastre impérial.

Les États-Unis ont besoin d’un moyen de sortir de l’Ukraine sans avoir l’air d’être expulsés.

Ils exigeront de Moscou des « concessions » symboliques et dénuées de sens uniquement pour sauver la face.

Mais la Russie n’a pas besoin de leur donner quoi que ce soit. Cette guerre se termine aux conditions de la Russie, sur le champ de bataille, et non à la table des négociations.

[Extraits du texte de Gerry Nolan]

L’Amérique a perdu, vaincue par elle-même.

Touhami

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