ISRAËL – L’entité maléfique génocidaire, encore frappée par de nouveaux scandales sexuels mêlés à des rituels sataniques impliquant de hautes personnalités
Une session spéciale s’est tenue cette semaine à la Knesset (Israël – Parlement) , au cours de laquelle un certain nombre de femmes colons ont témoigné et ont été victimes de membres de la Knesset – passés et présents, de rabbins, de policiers, de militaires de haut rang et d’autres hauts fonctionnaires dans ce qui a été décrit comme des « rituels sexuels sadiques ».
« Vous n’avez aucune idée de ce qu’est un abus rituel. Le cerveau humain ne peut pas le comprendre », a déclaré Yael Shitrit, l’une des victimes, dans son témoignage.
D’autres victimes – principalement issues des communautés ultra-orthodoxes et sionistes religieuses – partageaient aussi des histoires horribles de viols, de sodomisations, de sang d’animaux qui devait être bu de force, et bien d’autres choses encore.
« Vous n’imaginez pas ce que signifie programmer une fillette de trois ans par le viol et le sadisme pour en faire ce qu’on veut sans que personne ne le sache.
J’ai été victime de cela à travers le pays, de cérémonie en cérémonie, où des hommes nus se tenaient en cercle et me faisaient subir des atrocités. J’ai été menottée à un poteau et blessée à plusieurs reprises pour leur satisfaction sexuelle et masochiste.
La police est au courant depuis un an, mais elle n’a pas les moyens d’y faire face.
Les personnes qui devaient tomber sont des personnalités de très haut rang. Ces personnes dirigent des collectivités et des agences gouvernementales.
Les femmes ont évoqué des rituels religieux au cours desquels elles étaient régulièrement ligotées et bâillonnées, et où des membres de leur famille et des inconnus les agressaient sexuellement pendant de longues périodes.
Plusieurs victimes ont raconté comment elles étaient attachées et droguées, ou parfois forcées d’assister à des sacrifices d’animaux, puis de boire du sang de poulets, de chats, etc. »
Les incidents ont été décrits comme des « rituels religieux commis par des groupes et des individus qui considéraient (les victimes) comme des sacrifices pour la « transcendance spirituelle ».
Une femme a raconté comment, alors qu’elle n’avait que 7 ans, son rabbin l’a violée pendant 40 minutes alors qu’elle récitait des versets talmudiques lors d’une de ces cérémonies.
Elle a ajouté qu’il devait y avoir 8 à 12 autres adultes dans la pièce, tous nus, qui n’ont rien fait pour l’en empêcher.
Il est terrifiant de constater que les témoignages des victimes abordaient tous le même sujet : des enfants et des jeunes exploités, encouragés à s’exploiter mutuellement, et soumis à des drogues pour les rendre complaisants et oublieux lors de longs rituels religieux.
Ces rituels, de nature démoniaque et impliquant toujours de puissantes figures de l’autorité israélienne, se sont poursuivis pendant des années.
Certaines victimes n’ayant que 3 ans et n’ayant pu rompre ce cycle qu’au début de la vingtaine.
Un porte-parole des femmes a déclaré que les abus systématiques, notamment ceux commis sur d’autres enfants, étaient des tentatives de les « reprogrammer » par le biais du viol et de la torture systématique afin qu’un « stock » soit toujours disponible au fil des ans.
« J’ai subi des abus rituels pendant de nombreuses années jusqu’à la fin de mon adolescence et j’ai été forcée de faire du mal à d’autres enfants.
J’ai choisi de parler et de faire entendre ma voix. J’ai reçu des menaces après avoir révélé mon histoire. De cinq à vingt ans, j’ai été victime de violences lors de ces cérémonies. »
Yael Ariel (photo de droite), l’une des survivantes d’abus, a partagé : « J’ai subi des abus rituels pendant de nombreuses années jusqu’à la fin de mon adolescence et j’ai été forcée de faire du mal à d’autres enfants. J’ai choisi de parler et de faire entendre ma voix. J’ai reçu des menaces après avoir révélé mon histoire. De cinq à vingt ans, j’ai été victime de violences lors de ces cérémonies. »
J’ai déposé une plainte auprès de la police, qui a été classée sans suite au bout de quelques mois, et je connais d’autres affaires qui ont également été classées sans suite ou classées sans suite. C’est pourquoi m’exprimer aujourd’hui à la Knesset est un moment historique. La session spéciale de la Knesset a été organisée par le Dr Naama Goldberg, directrice de l’ONG israélienne Lo Omdot MeNegged (en hébreu « Ne pas rester les bras croisés »), qui soutient traditionnellement les victimes de la prostitution.
