L’économie israélienne plonge dans le rouge et affole les sionistes
l’économie israélienne en quelques points
Le PIB israélien a diminué de 1,4 % au deuxième trimestre 2024, après une baisse de 1,1 % au premier trimestre.
Le déficit budgétaire de 2024 a dépassé 6 % du PIB, le plus élevé depuis une décennie.
Les dépenses militaires israéliennes ont augmenté à plus de 18 milliards de dollars en un an, soit une hausse de plus de 30 % par rapport aux années précédentes.
Les investissements directs étrangers ont chuté de 45 % en 2024, en raison de l’instabilité sécuritaire et politique.
Moody’s a abaissé la note de crédit d’Israël de A1 à A2, avec une perspective négative.
Le tourisme a enregistré une baisse de 60 % du nombre de visiteurs, notamment à Jérusalem et Tel Aviv.
Plus de 20 % des entreprises technologiques ont temporairement cessé leurs activités en raison de la mobilisation de leurs employés en réserve.
La dette publique israélienne a dépassé 70 % du PIB, après des années de stabilité relative.
Les prix de l’immobilier dans le sud ont chuté de 25 %, en raison des évacuations et de la peur d’une escalade.
Des milliers d’événements culturels et sportifs ont été annulés, affectant le secteur des services et des loisirs.
Le taux de chômage dans les zones frontalières a dépassé 12 %, contre 4,5 % avant la guerre.
Des milliards de shekels ont été réaffectés des budgets de l’éducation et de la santé vers la sécurité et la défense.
La bourse israélienne a connu de fortes fluctuations, avec une baisse de 8 % de l’indice Tel Aviv 35 en octobre 2023.
Plus de 300 petites et moyennes usines dans le sud ont fermé en raison de dommages directs ou d’un manque de main-d’œuvre.
Les sondages montrent que 62 % des Israéliens estiment que la situation économique est « très instable ».
