
Selon le journaliste Khalil Nasrallah
Le journaliste Khalil Nasrallah : Dans une déclaration, la première du genre depuis le début de la guerre, les Brigades al-Qassam ont exigé des forces d’occupation qu’elles cessent leurs frappes aériennes pendant 24 heures. Elles ont également demandé de se retirer des quartiers de Tal al-Hawa et d’al-Sabra vers un point désigné. L’objectif était d’extraire deux prisonniers israéliens avec lesquels le contact avait été perdu suite aux violentes frappes aériennes israéliennes qui ont ciblé ces quartiers.
La déclaration se concluait par la phrase « Qui avertit est excusé », indiquant que le non-respect de cette exigence pourrait entraîner la mort des prisonniers.
Cet incident survient à un moment critique pour Netanyahou, qui a ordonné avant-hier l’installation de haut-parleurs à Gaza pour diffuser son discours aux Nations Unies. Lors de son discours, il s’est adressé directement aux prisonniers israéliens, leur promettant la « libération ».
Cet incident survient également au moment où les Américains évoquent la possibilité de conclure un accord et de mettre fin à la guerre, alors que les discussions de Wittcof avec les familles des prisonniers ont été confirmées, au cours desquelles il leur a promis une libération prochaine.
Il convient également de noter que les Brigades Qassam détiennent encore une partie de l’initiative, ce qui signifie que les demandes israéliennes de reddition sont loin d’être satisfaites.
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Commentaire sur “Journaliste Khalil Nasrallah – spécialiste des affaires régionales”
Haha, quelle tension ! Lart de lescalade verbale au sommet de la guerre. Qui avertit est bien excusé, disent-ils, comme si cétait un jeu denfant entre les haut-parleurs et les Brigades al-Qassam. Promesses de libération, discussions secrètes, et lombre de laccord américain plane sur tout ça. On dirait une comédie politique à la sauce middle-east, avec Netanyahou et ses discours, et les Palestiniens jouant les négociateurs à un jeu où tout le monde a peut-être déjà perdu sa carte. Cest incroyable comment on jongle avec la vie des prisonniers comme avec des pions déchecs. Mais au moins, cest passionnant, nest-ce pas ? On verra qui joue la dernière carte !