
Google nie la famine à GAZA et se fait payer par Israël pour alimenter cet honteux mensonge.
Google a signé un contrat de six mois d’une valeur de 45 millions de dollars avec le cabinet du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou pour mener des campagnes de propagande niant la famine à Gaza et promouvant le discours de guerre de Tel-Aviv.
L’accord, révélé par le gouvernement, place Google et sa plateforme YouTube comme des « entités clés » dans la campagne de communication de Netanyahou, gérée par l’agence de publicité publique israélienne Lapam.
Les publicités financées dans le cadre de ce contrat insistent sur le fait qu’« il y a de la nourriture à Gaza », malgré la déclaration de famine de l’ONU et les avertissements de famine massive, alors qu’au moins 367 Palestiniens, dont 131 enfants, sont déjà morts de faim et de malnutrition.
Outre YouTube, Israël investit des millions supplémentaires sur des plateformes comme X et Outbrain/Teads, finançant des vidéos accusant l’ONU de « sabotage », discréditant la Fondation Hind Rajab et diffusant des accusations démenties contre le Hamas.
Ces campagnes ont été lancées en juin non seulement pour contrer les rapports de famine, mais aussi pour justifier les bombardements israéliens sur l’Iran lors de l’opération « Lion de l’Ascension » qui a coûté la vie à plus de 400 civils.
Le cofondateur de Google, Sergey Brin, aurait rejeté les critiques de l’ONU concernant le rôle de l’entreprise, les qualifiant d’« antisémites flagrants », tandis que des groupes de défense des droits humains accusent le géant technologique de tirer profit du génocide.
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