Le chat est un félin solitaire, indépendant mais fidèle

Le chat est un félin solitaire, indépendant mais fidèle

Le chat est un félin solitaire, indépendant mais fidèle et aimant la compagnie

Le chat dort plus qu’il ne reste éveillé et aime les caresses

Souvent solitaire et indépendant, le chat hérisse ses poils lorsqu’il veut qu’on le laisse tranquille. Il vaut mieux, dans ces cas, évacuer les lieux et le laisser vaquer à son train-train quotidien : repas et dodo, entre autres. Mais s’il aime le calme et le repos, le chat n’en est pas moins amateur de câlins, de chatterie, de tendresse et tout autre geste bienveillant à son égard. Plus on le caresse dans le sens du poil et plus il exprime un indicible plaisir. Ce félin sait se faire aimer. Ses armes : des yeux doux, bleus et verts, d’une lumière scintillante, comme s’ils emmagasinaient, telles des piles électriques, une énergie brillante le jour, pour la restituer la nuit. Lorsqu’il apparait dans l’obscurité, ses yeux étincelants apparaissent comparables à des feux d’une voiture roulant dans le noir.

Ses griffes lui servent de moyen de défense

Réactif, intelligent, observateur, le chat intervient vite et c’est à la vitesse d’un éclair qu’il fonce, bondit, notamment lorsqu’il aperçoit une souris. « Quand le chat n’est pas là, les souris dansent », dit l’adage. S’il montre ses griffes, il ne faut pas insister si l’on veut s’éviter des griffures. Il ronronne pour exprimer une satisfaction, mais cela peut également signifier une inquiétude, un danger imminent. S’il vient à être sur vos genoux, caressez-le à la tête, sous le menton et sur le dos ; s’il peut, en effet, atteindre par des contorsions toutes les parties de son corps, en revanche il ne peut atteindre celles du haut. S’il miaule pour communiquer avec vous, répondez-lui toujours sur un ton doux. Le chat n’aime ni qu’on le brusque, ni qu’on le porte n’importe comment.

Comme le chien, le chat est un fidèle compagnon

— Allez viens, je t’attendais. Mais où étais-tu passé ? demanda le maître à son chat qui pénétra dans la pièce.

La bête s’approcha, prit son élan, s’élança, et atterrit sur les genoux du grand-père assis confortablement sur un fauteuil. Aussitôt, le vieil homme lui prodigua des caresses. L’animal gémit, témoignant son affection et sa tendresse. Visiblement, ils avaient leurs habitudes. Le feu de bois, de la cheminée, réchauffait la pièce, en cette fin de journée hivernale. Les flammes dansaient aux crépitements du bois consumé lentement. Puis, le chat s’endormit. Le vieil homme allongea ses jambes plus près du feu pour se réchauffer les pieds, saisit une vieille couette posée au sol. Il enveloppa avec soin et précaution le mistigri tout en se couvrant. Ce n’est qu’à l’heure du dîner que grand-mère les réveilla. La soupe était déjà servie et son délicieux arôme inondait toute la cuisine.

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