La femme : clé de voûte de toute société

La femme : clé de voûte de toute société

Une femme pour mère, puis une autre femme pour épouse, avant de devenir elle-même mère. C’est le cycle naturel, éternel, biologique de l’espèce humaine, depuis Adam et Eve.      

Le foyer, havre de paix sans équivalence   

Quel est le meilleur moyen pour détruire une civilisation, fût-elle millénaire ? S’attaquer à son fondement principal. Quel est le garant de ce fondement essentiel ? La femme, une actrice majeure dans la transmission.

En effet, si l’homme est le protecteur d’un foyer, la femme en est la mémoire. Et sans la mémoire, nous ne serions rien. La femme représente la stabilité, le centre et l’équilibre d’un foyer. C’est elle qui va en organiser la vie.

Toute bâtisse réputée solide doit reposer sur des fondations robustes, sans lesquelles elle serait balayée au moindre vent, à la première tempête. C’est la base. La femme est cette base sans laquelle l’homme ne peut rien entreprendre.

En Occident, les ennemis du système conjugal l’ont compris depuis longtemps. Aussi, tout est entrepris pour désorganiser les familles, créer la scission, la rupture afin de disloquer ce tissu qui constitue une société, une nation, une civilisation, à savoir la cellule familiale.

La famille, un sanctuaire inestimable

Cet espace privilégié, ce sanctuaire irremplaçable, dans lequel un enfant trouve la protection, la sécurité, la stabilité, l’équilibre, l’amour et l’affection nécessaires à son éclosion et à son épanouissement personnel dans la société, vole en éclats. Celles et ceux qui ont eu la chance de connaître un tel environnement auront de leur côté toutes les chances de réussir leur vie future dans la société.

Considérons, à juste titre, que l’homme et la femme sont l’exemple parfait d’une complémentarité, et qu’ils sont, tels des maillons, unis l’un à l’autre. Si l’un des deux rompt, la chaîne se brise, éclate, puis se sépare. Pour parvenir à dissocier les maillons d’une chaîne, il faut mettre en œuvre une situation de mise en concurrence et d’affrontement. Les raisons ne manquent pas. Je vous laisse imaginer.

Les conflits seront ainsi inévitables et la désunion apparaîtra rapidement. L’ordre deviendra désordre, l’harmonie la confusion, l’intérêt commun prendra le dessus sur l’intérêt personnel. Au moindre souci et problème rencontrés, l’unité intelligente du couple ne sera plus au service d’une recherche de solutions responsables, elle sera prétexte à des disputes, des affrontements pour cause de divergences profondes. Les compromis, nécessaires à tout climat apaisé, seront écartés, laissant place au bras de fer et donc à un inéluctable divorce.

Briser le foyer familial pour une liberté illusoire

Lorsque des éléments sont assemblés, imbriqués, mus par un système précis et logique, rendant solidaires et interactives chacune des pièces mécaniques ayant un rôle précis, dans le but de produire une action déterminée, la manière la plus habile de créer des dysfonctionnements, à l’intérieur de cette machine huilée et rodée, est celle d’introduire un grain de sable.

Il existe tellement de manières possibles et imaginables de briser des couples, de les mettre en situation de rupture. A la longue, les hommes finissent seuls et les femmes également. L’interdépendance et la complémentarité sont altérées au point où l’un n’a plus besoin de l’autre. La stabilité laisse place à une union d’un moment. Les devoirs sont limités, les droits exclusivement ceux du plaisir à effet immédiat. Et vogue la galère vers l’inconnu. Sans boussole, on s’égare.

Les enfants deviennent une lourde responsabilité. On préfère en sous-traiter l’éducation aux structures et aux institutions de l’Etat. La famille est ainsi décomposée, recomposée, puis décomposée à nouveau et ainsi de suite.

Et pourtant, qui ne rêve pas de fonder sa propre famille ? Encore faut-il que ces jeunes en aient les moyens : travail, logement…. Rien n’est fait pour les y aider.

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