Le Grand Israël : un projet colonial sioniste sous couvert de guerre préventive
Le Grand Israël est en route
Gaza dévastée, le Liban bombardé, la Syrie attaquée – tout cela ne relève pas d’un hasard, mais d’une stratégie. Le concept du « Grand Israël » n’est pas une théorie, c’est une feuille de route : annexer des territoires, briser les nations voisines, fragmenter le monde arabo-musulman.
Netanyahou l’a lui-même évoqué : diviser pour mieux dominer. Chaque missile, chaque raid, chaque carte présentée vise un objectif clair : affaiblir les voisins pour ériger une hégémonie régionale. Ce n’est pas une défense, c’est une expansion.
Quand Israël bombarde, c’est la carte du Moyen-Orient qu’il redessine. Le silence complice des puissances occidentales ne fait que renforcer cette ambition destructrice.
Occident : deux poids, deux mesures.
Israël « avance rapidement » en Syrie.
La Russie, elle, « envahit brutalement » l’Ukraine.
La manipulation médiatique est flagrante : quand il s’agit des alliés de Washington, c’est une opération légitime. Mais dès qu’un pays refuse l’hégémonie occidentale, le récit change, et la propagande s’emballe.
Le véritable « acte de guerre brutal » ? L’hypocrisie des médias occidentaux, qui couvrent les agressions de leurs partenaires tout en diabolisant ceux qui leur résistent. La Russie, elle, n’a jamais prétendu que ses actions étaient autre chose qu’une réponse nécessaire pour sa sécurité.
Ministre espagnol des Affaires étrangères :
Il est temps d’instaurer un cessez-le-feu à Gaza.
Israël doit cesser d’attaquer les soldats de maintien de la paix de l’ONU.
Il y a plusieurs lignes rouges qui doivent être posées immédiatement en Syrie.
Le mouvement militaire en Syrie doit se transformer en mouvement politique.
Nous voulons que notre ambassade retourne à Damas le plus tôt possible.
Nous devons nous engager rapidement mais clairement dans la question syrienne.
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