Palestine : des bandes annonce au film de la libération il n’y a plus qu’un pas

La victoire, elle est surtout celle-ci :

Des images circulant dans les réseaux montrent des colons israéliens fuyant en masse les terres occupées de Palestine, suite à l’attaque aérienne massive de l’Iran la nuit dernière.

Les Juifs quittent Israël (Palestine occupée) et ne seront probablement pas près de revenir. S’il existe aujourd’hui un endroit où les Juifs ne sont pas du tout en sécurité, c’est bien ce « foyer juif » en Palestine. Et cette insécurité, les Juifs la doivent à leurs dirigeants.

La libération arrivera tôt ou tard :

Tout peuple opprimé parvient à se libérer, même si cela peut prendre des années. Parce qu’il dans les gènes de l’homme de se libérer de tout carcan et de toute chaine qui l’entraverait. L’histoire l’a attesté et l’a démontré et même très récemment.

Il y a eu deux bandes annonce : le 7 octobre et le 14 avril 2024. Personne ne peut en douter. Nous attendons maintenant le film, c’est-à-dire la libération de la Palestine de cette entité hautaine, arrogante, néfaste et génératrice de guerres, d’injustices et de souffrance.

Claude Elkhal, journaliste Franco-Libanais :

« La riposte iranienne avait trois objectifs.

– Frapper l’aéroport d’où avaient décollé les F-35 qui ont bombardé son consulat en Syrie.

– Effectuer un « test-drive » du système de défense israélien.

– Montrer qu’Israël est incapable de se défendre tout seul.

Ces trois objectifs ont été pleinement atteints. »

Représentant Algérien au Conseil de Sécurité

Le représentant de l’Algérie au Conseil de sécurité qui se réunit spécialement suite à la réponse Iranienne et à la demande « d’Israel » :

« L’action d’Israël en attaquant le consulat iranien était arbitraire ! »

« Israël a amené la situation dans la région à en arriver là. Nous mettons en garde contre une politique à double standard. Les lois internationales sont les mêmes pour tout le monde. Il n’est pas possible d’attaquer d’abord le territoire d’un pays puis de s’offusquer lorsqu’il répond. Nous sommes à la croisée des chemins : soit nous respectons le droit international, soit nous entrons dans le chaos. »

Délégué russe au Conseil de sécurité de l’ONU :

« Ce à quoi nous assistons aujourd’hui au Conseil de sécurité est une démonstration d’hypocrisie et de deux poids, deux mesures, et c’est presque honteux. »