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Un Croyant musulman, où qu’il se trouve, doit être un exemple, sinon il ne peut être un ambassadeur de sa religion
Le musulman doit être un exemple
Pour être un exemple, le musulman doit d’abord pratiquer sa religion, en privée, avec foi, assiduité et constance. Ensuite, il ne doit pas mettre en avant sa religion mais en être l’incarnation à tout point de vue. Comment ?
Il doit ouvrir son esprit à tout questionnement et être tolérant envers les autres et ne jamais juger les juger. Si Dieu avait voulu faire de toutes Ses créatures des musulmans, Il n’aurait eu aucun mal. Au contraire, il a créé notre Monde dans la diversité.
« Si Dieu l’avait voulu, il aurait fait de vous une seule communauté. Mais il a voulu vous éprouver par le don qu’il vous a fait. Cherchez à vous surpasser les uns et les autres par les bonnes actions. Votre retour à tous se fera vers Dieu, il vous éclairera au sujet de vos différends » (Sourate 48-verset 5).
Un croyant, qu’il soit juif, chrétien, ou musulman, tire sa foi et son inspiration dans sa relation intime au Créateur, Lequel a offert à l’homme le don miraculeux de la vie, le souffle de l’Esprit qui guide les actions des créatures dans leurs responsabilités terrestres.
L’islam et les musulmans sont régulièrement attaqués en Occident. Probablement parce qu’ils sont les seuls — à travers des siècles et des siècles d’histoire — restés les plus attachés à la Révélation, au Message divin
Le musulman respecte et honore tous les Prophètes de Dieu. On ne trouvera jamais dans le Coran un seul verset mettant en cause l’authenticité, l’honnêteté, la droiture, la foi et la loyauté envers Dieu les Prophètes.
Le musulman obéit aux « cinq piliers » qui fondent l’islam : 1) profession de foi (attester l’Unicité de Dieu et que son Messager est Mohammed (paix et salut sur lui) ; 2) accomplir les 5 prières de la journée aux heures précises ; 3) acquitter l’impôt sur ses richesses ; 4) jeûner durant le mois de ramadan ; 5) accomplir un pèlerinage à la Mecque si les moyens financiers, physiques et mentaux le permettent.
Il est reproché aux Musulmans de ne pas s’adapter suffisamment aux temps modernes. Certes, mais courir le risque de skier hors des pistes balisées comporte des risques. Partir affronter la haute mer parce que l’on aurait quelques connaissances sur la longitude et la latitude est aussi un pari risqué.
Car que savons-nous précisément des montagnes, des mers et des océans ? Ce que nous en voyons ou ce que nous en étudions. Pourrions-nous juste orienter les vents, retenir les nuages ? Il y existe sept cieux, or nous n’en voyons qu’un et il semble infini.
A chacun sa religion. Mais que resterait-t-il demain de la religion, révélée par Dieu, si l’homme l’adapte selon ses propres envies, ses propres conceptions, ses propres interprétations d’un Monde et d’un Univers dont il ignore, finalement, tout ?
Abraham (paix sur lui) a vécu 950 ans. Lorsqu’on lui a demandé ce qu’il pensait de la vie, il a répondu : « Je suis entré par une porte et j’en suis sorti par une autre. »
Si les Juifs ont gardé la Révélation uniquement pour eux, excluant tous les autres, et si les Chrétiens ont corrigé en affirmant que Dieu est le Dieu de tous les hommes, les Musulmans clament, en revanche, que non seulement Dieu est le Seigneur de tous les hommes mais qu’en plus Il est le Roi, l’Omniprésent de tout l’Univers.
