BREAKING NEWS - Une trève de 42 jours à GAZA entre le Hamas et Israël a été acceptée par les 2 parties. Le cessez-le-feu est entré en vigueur ce dimanche 19/01/25 à 10h15 (heure française), veille de la prise de fonction du président Trump.
Yaïr, fils du Premier ministre Netanyahu, a été expulsé vers Miami avant le début de la guerre à Gaza pour avoir tenté d’étrangler son père lors d’une altercation violente
C’est ce qu’a révélé, sur cette affaire familiale Netanyahu, le journal koweïtien Al-Jarida, citant une source de sécurité israélienne, qui s’est exprimée sous couvert d’anonymat.
L’incident, selon l’article, a eu lieu avant le début de la guerre génocidaire israélienne dans la bande de Gaza, le 7 octobre 2023, lors de manifestations massives en Palestine occupée (Israël) contre un plan controversé du cabinet de Benjamin Netanyahu visant à promouvoir une réforme judiciaire.
Selon l’article, Yaïr et sa mère, Sara, se sont opposés à une éventuelle décision du Premier ministre de parvenir à un accord avec l’opposition israélienne.
La source a détaillé que le fils de Netanyahu, connu pour ses positions d’extrême droite, a attaqué son père, l’a poussé à terre puis a tenté de l’étrangler en présence de sa mère, obligeant les gardes à intervenir lorsqu’ils ont entendu les cris.
Le conflit a été résolu, selon la source, et Yaïr a été transféré au siège du service de renseignement intérieur, le Shin Bet, puis expulsé vers Miami, aux États-Unis.
Le Shin Bet, à son tour, a tenté de dissimuler l’incident
Lorsque Yaïr est revenu en Palestine occupée, le Shin Bet ne l’a pas autorisé à être reçu dans la maison de son père, ni à Al-Quds (Jérusalem), ni à Césarée, au centre de la Palestine occupée, et il est donc retourné à Miami.
Les informations indiquent que Sara ne souhaite pas retourner en Palestine occupée et qu’elle restera avec son fils qui suit un traitement psychologique aux États-Unis.
Al-Jarida, le journal koweitien, considérait Sara comme la personne qui influence le plus le Premier ministre et qui s’immiscerait dans les questions de politique étrangère et dans la nomination des responsables de la sécurité.
Elle et son fils Yaïr s’immiscent aussi parfois dans les questions liées à la gestion du régime d’occupation.
