Israël massacre des femmes et des enfants délibérément et à la face de dirigeants d’une humanité étrangement silencieuse
Israël : un Etat tueur d’enfants et de femmes sans défense. Un Etat colonisateur, bâti sur un régime d’apartheid. Un régime criminel et génocidaire qui devra rendre des comptes — s’il existe encore un semblant de justice sur cette Terre — de ses crimes de guerre et contre l’humanité. Ce pays, (*) sans frontières reconnues, c’est celui de l’Etat juif et sioniste d’Israël.
Le journaliste et écrivain Theodor Herzl voulait un Etat refuge, un foyer où les Juifs pourraient vivre en paix et en sécurité. Le mouvement politique et idéologique du sionisme naquit, si bien qu’en 1948 l’Etat juif et sioniste d’Israël fut créé à la suite d’une partition de la Palestine dès 1947. L’objectif s’arrêtait là.
C’était sans compter avec Vladimir Jabotinsky qui fonda en 1925 le mouvement « Union mondiale des sionistes révisionnistes » pour contrer la politique pacifique de Chaïm Weizmann (premier président de l’État d’Israël). Weizmann qui signa un accord avec l’émir Fayçal ibn Hussein (futur roi d’Irak) sur les relations entre Juifs et Arabes au Moyen-Orient. Le sionisme visait déjà à une installation des juifs en Palestine mais de manière pacifique et, si possible, acceptée par les Arabes.
Cependant, dans la nouvelle idéologie de Jabotinsky, sioniste révisionniste, il n’est plus question d’un projet pour un foyer refuge, mais la création immédiate d’un Etat sur les deux rives du Jourdain. Désormais, l’idéologie révisionniste, est basée sur l’autorité, la discipline, le nationalisme et une politique agressive envers les Arabes palestiniens. Dès 1931, lors d’un congrès sioniste, la création rapide d’un Etat juif en Palestine fut imposée, mais sans succès. Jabotinsky finit par se retirer.
Après Jabotinsky, un autre mouvement naît, celui de la : « Nouvelle Organisation sioniste » en 1935. Le mouvement de jeunesse « Betar », né à Riga en 1923, rejoint ce nouveau mouvement et crée une organisation clandestine : l’Irgoun Zvaï Leoumi (organisation militaire). Cette organisation va pratiquer un terrorisme antiarabe et antibritannique ; à la publication du Livre Blanc en mai 1939 : déclaration de politique générale sur la Palestine, établie par les Britanniques, appelant à l’établissement d’un foyer national juif dans un État palestinien indépendant dans un délai de 10 ans. Les groupes sionistes de Palestine rejettent immédiatement ce Livre Blanc. C’est le début de graves troubles, notamment par une grève générale des Juifs et des actes terroristes.
La suite est connue : après une politique de peuplement, dès les années 30, et une immigration de masse des Juifs vers la Palestine qui vont, avec l’aide des milliardaires juifs, acheter des terres — avec interdiction de les revendre à des Arabes —, la communauté internationale, culpabilisée par les drames de la Shoah déroulés en 39/45, va céder aux exigences des sionistes révisionnistes et faire payer aux Palestiniens les crimes commis en Europe par le IIIe Reich d’Adolf Hitler.
Né par le terrorisme, cet Etat va subsister par le terrorisme. Aujourd’hui, Israël continue encore de terroriser, de massacrer, de bombarder avec des bombes au phosphore blanc, arme interdite par les conventions internationales, dans la bande de Gaza, sans scrupules et sans aucun respect de la vie. Profitant du chaos dans la bande de Gaza, les colons juifs racistes et extrémistes, accompagnés par des soldats, spolient et expulsent manu militari de leurs terres et de leurs domiciles de pauvres Palestiniens sans défense. Des diplomates et des officiers français l’ont d’ailleurs dénoncé.
Mais si Israël tue et massacre du ciel par des bombardements puissants et aveugles, avec une intention de faire le plus de morts possibles, au sol, face aux combattants du Hamas, Tsahal subit des pertes considérables, l’obligeant à battre en retraite. Les soldats israéliens sont formés au maintien de l’ordre, à l’arrestation d’enfants lanceurs de pierres. Confrontés à de vrais combattants aguerris, les Israéliens tremblent et fuient les combats comme des lapins.
Et tout ces crimes son commis sous le regard, le silence d’une communauté internationale complice ; comme si celle-ci avait été anesthésiée afin d’être totalement soumise à l’entité sioniste. L’histoire retiendra la lâcheté, la collaboration et la connivence des puissances occidentales, celles qui, justement, mirent au monde cet Etat terroriste en 1948, via l’ONU.
L’histoire retiendra également qu’Israël n’a jamais rien fait pour être admis dans la région par ses voisins arabes. Au contraire, sa politique sera offensive et militariste avec une seule ligne directrice : diviser le monde arabe pour asseoir sa domination au Moyen-Orient.
Les cris et les souffrances de ces milliers d’enfants, ces milliers de femmes, poursuivront leurs victimes toute leur vie, jusqu’à leurs tombes. Et ce jour-là, ils s’interrogeront sur quels crimes ces enfants innocents ont commis pour avoir été exterminés dans des conditions barbares et inhumaines.
L’humanité vit actuellement des pages sombres de son histoire, après celles vécues lors de la seconde guerre mondiale. Et bizarrement, les victimes d’hier sont les bourreaux d’aujourd’hui. Ainsi va l’histoire. Beaucoup devraient se retourner et regarder vers leur passé.
(*) Pour être reconnu par la communauté internationale, un Etat doit avoir des frontières définies et reconnues. Ce n’est pas le cas d’Israël qui a des frontières extensibles en raison de sa politique colonialiste.
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