INFOSPLUS – Actulalité – Politique – Littérature – Sport – Algérie
INFOSPLUS – Actulalité – Politique – Littérature – Sport – Algérie

L’Ukraine et l’Etat sioniste d’Israël sont liés par leurs mêmes méthodes mafieuses de gouvernance

L’Ukraine et l’Etat sioniste d’Israël sont liés par leurs mêmes méthodes mafieuses de gouvernance

L’Ukraine et l’Etat sioniste d’Israël sont liés par leurs mêmes méthodes mafieuses de gouvernance

L’Ukraine, un pays manipulé par l’Occident

L’Ukraine est sans doute l’un des pays les plus corrompus de la Planète. C’est le pays des bandéristes, des néonazis, des Ukro-nazis, des nationalistes racistes et suprématistes. Beaucoup d’Ukrainiens sont, par exemple, pour une extermination des populations musulmanes. Rien que cela. Ce pays est une concentration de radicalisés, de fanatiques et d’extrémistes en tous genres.

Volodymyr Zelensky n’est qu’une marionnette au service de l’OTAN. S’il avait respecté les accords de Minsk I (en 2014) et Minsk II (en 2015) qui prévoyaient notamment des référendums sur l’autodétermination du Donbass russophone (république populaire de Donetsk et de Louhansk), nous n’en serions pas arrivés jusque-là aujourd’hui.

Au contraire, les Ukrainiens russophones ont été bombardés par l’armée ukrainienne. Entre 2014 et 2022, la guerre du Donbass a causé la mort de plus de 14 000 personnes et en a déplacé deux millions.

Si l’on ajoute à tout cela les révélations faites par l’ancienne chancelière allemande Angela Merkel qui a déclaré que les accords de Minsk n’avaient en réalité qu’un objectif, celui de gagner du temps et permettre ainsi à l’Ukraine de se préparer à la guerre ; la boucle est bouclée.


Dans son discours justifiant l’annexion de la Crimée par la Fédération de Russie, le 18 mars 2014, le président Vladimir Poutine avait séchement critiqué les dirigeants occidentaux : « Ils nous ont menti à plusieurs reprises, ils ont pris des décisions dans notre dos, ils nous ont mis devant le fait accompli. Cela s’est produit avec l’expansion de l’Organisation du traité de l’Atlantique nord [OTAN] vers l’est, ainsi qu’avec le déploiement d’infrastructures militaires à nos frontières. »  source

En clair, Vladimir Poutine déclare que les Occidentaux ont promis que : « L’OTAN ne s’étendrait pas d’un pouce vers l’est » et ont fait en réalité tout le contraire.

L’OTAN répondra à Vladimir Poutine, en tentant de démonter ce « mythe » et cette « prétendue promesse » : « Il n’y a jamais eu, de la part de l’Ouest, d’engagement politique ou juridiquement contraignant de ne pas élargir l’OTAN au-delà des frontières d’une Allemagne réunifiée », écrit M. Michael Rühle (1), chef de la section sécurité énergétique. source

En précisant « juridiquement contraignant », l’OTAN révèle le pot aux roses. Des documents récemment déclassifiés (2) permettent de reconstituer les discussions de l’époque et de prendre la mesure des engagements politiques occidentaux envers M. Mikhaïl Gorbatchev en échange de ses initiatives pour mettre fin à la guerre froide. source

Volodymyr Zelensky va être ce pion que l’OTAN va avancer vers la Russie et observer ainsi la réaction de l’Ours russe. L’ultime provocation a été une possible adhésion de l’Ukraine dans l’Union Européenne et par la suite une probable admission au sein de l’OTAN. C’en est trop pour l’Ours qui va montrer ses griffes. Le 24 février 2022, les blindés russes rentrent en territoire Ukrainien.

La Réponse de Vladimir Poutine ne s’est pas fait attendre. Une Russie ressuscitée et redevenue forte ne pouvait évidemment pas plaire et convenir au monde occidental hautain et arrogant ; les « maîtres du monde » ne veulent aucun rival capable de leur tenir tête.

Après Volodymyr Zelensky, c’est désormais le président français Emmanuel Macron qui est chargé de clamer partout « à mort la Russie! » et de voir ce qui va se passer. On prépare le terrain à un affrontement, mais sans vraiment vouloir y aller. Mais l’Ukraine en déroute, malgré les milliards misés et toutes les armes fournies par les pays de l’OTAN, cela a visiblement refroidi le Pentagone.

Emmanuel Macron, finalement, n’est qu’une caisse de résonnance pour dire : « nous n’avons pas peur ». Sauf que l’Ours est la première puissance mondiale et le pays le plus grand et le plus vaste au monde également.

Après ce pétard mouillé, que fut l’armée de Volodymyr Zelensky, aurons-nous un autre « feu de bengale » à proposer face à la puissance Russe, épaulée s’il le faut par la Chine, l’Inde et l’Iran ?

La présence des USA au Moyen-Orient est sur la sellette et les jours des GI’s sont comptés. Un retrait total dans les 90 jours est même prévu par l’administration Biden. Signe clair d’un déclin militaire et économique de l’Amérique et de ses alliés.

Si en Occident, nous réfléchissons longtemps avant d’aller mourir, en Russie, même les généraux sont au plus près de leurs troupes, sur le terrain, pour y mourir s’il le faut avec leurs soldats. Nous n’en sommes pas à ce stade en Occident.  

Israël  pratique la terreur et l’horreur pour se maintenir dans la région

D’ailleurs, voyez au Proche-Orient. Des combattants du Hamas munis d’armes rudimentaires, bricolées maison, tiennent tête à une des armées les mieux équipées du monde. Une armée sioniste et colonialiste composée de danseuses de théâtre qui perd pied devant des combattants palestiniens combattifs comme des lions et prêts à mourir.

Tsahal n’y arrive pas et n’y arrivera pas devant la foi et la volonté d’un peuple prêt à se sacrifier pour ses terres. Les sionistes s’enlisent et comptent leurs morts par centaines. Le prétendu « peuple élu », censé avoir la protection de Dieu, prend des balles, des missiles et des roquettes sur la tête.

Leur ministère de la guerre nous parle de quelques centaines de morts, quand le décompte, en réalité, se fait en milliers de morts.

Cela fait maintenant plus de 75 ans que l’Etat sioniste d’Israël se maintient au Proche-Orient par une politique de terreur (terrorisme d’Etat), de colonialisme, d’apartheid, d’injustice et de meurtre. Et cet Etat n’est toujours pas parvenu à se faire admettre dans la région par les peuples arabes et musulmans. Car les dirigeants signataires des accords dits d’Abraham sont pour la plupart corrompus et n’engagent qu’eux-mêmes, et non pas leurs peuples.

INFOSPLUS

Laissez un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *