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Le peuple élu récidive et toujours au pied du Djebel Moussa

Le peuple élu récidive et toujours au pied du Djebel Moussa

Le peuple élu sous un déluge de roquettes

Le peuple élu est soumis à un déluge de roquettes lancées à partir de la ville martyre de Gaza, ville sous embargo depuis 2006 — parce que l’Occident a jugé que les Palestiniens ont mal voté en élisant démocratiquement le Hamas — sur la seule décision des Israéliens et au nom de leur sempiternel droit à se défendre. Les Palestiniens, eux, peuvent continuer à mourir, c’est dans le protocole international onusien.

On se souvient que Georges W. Bush avait, de même, pris la lutte du terrorisme international pour prétexte et ainsi pouvoir intervenir où bon lui semblait et notamment au Moyen-Orient (l’Irak a été ravagé et détruit).

La protection de Dieu n’est, selon les colons juifs intégristes et terroristes, destinée qu’au seul peuple de David. Quelle aubaine et quelle chance ! Tous les autres (tant pis pour vous !) ne sont pas concernés par les miracles divins, car Dieu ne les aurait pas créés ; ils ne seraient, en fait, que des créatures de seconde zone, des sous-hommes. Voire même des assujettis, des esclaves soumis au seul peuple élu.

Pourtant, les nouveaux conquérants du Proche-Orient, descendants des rescapés de la seconde guerre mondiale, minimisent les dégâts matériels, provoqués, jusqu’à Tel-Aviv même, par les roquettes, ainsi que les morts, comme s’ils étaient, eux, immortels. La protection d’Elohim leur est, c’est bien connu, éternelle et unilatérale.

Le Mont Sinaï est le témoin d’un passé qui resurgit soudain

Mais bizarrement, ces conquistadors (le peule élu) du XXe siècle ne s’en remettent plus, aujourd’hui, au Dieu Unique. Ils sous-traitent cette protection à une machine américaine de défense appelée Dôme de fer. De trahison en trahison (Moïse et ses immenses déceptions), envers le Créateur, les Hébreux ont fini par s’accoutumer, s’habituer, aux châtiments divins. Le Veau d’or s’appelle aujourd’hui Iron Dome. Et toujours au pied du Mont Sinaï ; en arabe Djebel Moussa [ جبل موسى ]. Les Musulmans eux au-moins rendent à Moïse ce qui est à Moïse.

Le retour au bercail — la terre promise selon les plus fanatiques —, décidé non par Dieu mais par l’ONU (Organisation des Nations Unies), ne s’avère, tout compte fait, qu’un retour en arrière, un remake. Seuls les acteurs ont changé, le scénario est le même.

L’histoire va, somme toute, se répéter. Ils (les Juifs) récidivent. Violant la loi numéro un des « Dix Commandements » remis à Moïse : « Tu ne tueras point ». Ils transgressent encore et encore les règles et les préceptes religieux de base que le Messager Moshé (paix et salut sur lui) leur a apportés.

Mais on le sait, Allah le Puissant [ الله عزوجل  ] a entre temps résilié le contrat avec le peuple élu, le transferrant à un certain berger (*) arabe nommé Mohamed (que la paix et le salut soient sur lui), dont la communuaté, issue d’ismaël, va reprendre le flambeau.

Souate 17 Al-Isra » (le voyage nocturne) ; versets 4; 5; 6; 7 et 8 (ils sont très explicites).

(*) Le Messager d’Allah (Paix et salut sur lui) a dit: « Il n’est pas un prophète qu’Allah a envoyé sans qu’il n’ait été berger ».

Touhami – INFOSPLUS

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