Il y a 80 ans, le 3 septembre 1944, après 4 années d’occupation, Lyon se libérait de l’occupation, grâce au courage de groupes résistants qui ont pris les armes et qui ont risqué leur vie pour se libérer de la présence d’un occupant sanguinaire qui tuait, emprisonnait et torturait.
La capitale de la résistance fut le théâtre d’une lutte armée avec des sabotages, des fusillades et des embuscades face à un occupant qui multipliait les représailles et les exécutions sommaires sur des civils innocents.
Des figures légendaires comme Jean Moulin et Lucie Aubrac ont illustré cette époque.
Aujourd’hui, la Palestine occupée vit des moments similaires : une occupation violente, un peuple révolté, une résistance armée légitime et des accusations malhonnêtes de « terrorisme » de la part de l’occupant et de ses alliés.
Aujourd’hui, les mouvements antifascistes, anti-impérialistes et anti-sionistes sont les héritiers spirituels de cette résistance lyonnaise héroïque.
Et c’est très logiquement qu’ils soutiennent les revendications légitimes du peuple palestinien sous occupation ainsi que de toute sa résistance armée légitime.
Malheureusement, l’Occident collectif et ses relais locaux en France se sont déclarés plus proches des impérialistes et des sionistes alliés à l’extrême droite islamophobe dans leur haine commune contre tous ceux qui aspirent à l’épanouissement des peuples et à leur libération.
Nos militants aujourd’hui combattant l’arbitraire et l’injustice, ces héritiers de la résistance contre l’occupant nazie, se retrouvent trop souvent stigmatisés et criminalisés par les autorités de l’Etat et ses relais médiatiques.
Cette criminalisation des militants antisionistes, anti-impérialistes et antifascistes constitue une insulte à la mémoire des résistants, qui se sont battus pour la liberté et la justice.
La collaboration de l’Etat français avec l’entité fasciste, colonialiste et raciste est aussi une trahison et une honte face aux sacrifices des résistants français.
L’Etat français aujourd’hui soutient, protège et arme en Palestine occupée ceux que la résistance française combattait hier.
Hier, ils s’appelaient nazis. Aujourd’hui ils se présentent comme sionistes. Deux idéologies qui ont les mêmes fondamentaux : haine de l’Autre, suprématie raciale, culte de la violence, colonialisme, domination.
À l’occasion de ce 80e anniversaire, il est plus que jamais crucial de se souvenir de la lutte des résistants et de défendre leur héritage.
Lyon doit honorer cette mémoire en soutenant ceux qui, aujourd’hui encore, luttent contre le sionisme, l’impérialisme et le fascisme. Ne laissons pas les sacrifices des résistants être dévoyés ou oubliés.
En nous inspirant de leur courage, de leur audace et de leur détermination, nous devons continuer à lutter contre l’injustice et l’arbitraire.
Les amis de Jean Moulin et de Lucie Aubrac ont mis leur devoir de conscience au dessus de tout, ils sont devenus hors-la-loi car se soumettre au cadre de la loi de l’occupant signifiait trahir.
Que Dieu ne nous compte pas parmi les traîtres.
ANNIVERSAIRE : 80 ans de la Libération de Lyon.
QUAND LA RÉSISTANCE ARMÉE ÉTAIT À L’HONNEUR !
Il y a 80 ans, le 3 septembre 1944, après 4 années d’occupation, Lyon se libérait de l’occupation, grâce au courage de groupes résistants qui ont pris les armes et qui ont risqué leur vie pour se libérer de la présence d’un occupant sanguinaire qui tuait, emprisonnait et torturait.
La capitale de la résistance fut le théâtre d’une lutte armée avec des sabotages, des fusillades et des embuscades face à un occupant qui multipliait les représailles et les exécutions sommaires sur des civils innocents.
Des figures légendaires comme Jean Moulin et Lucie Aubrac ont illustré cette époque.
Aujourd’hui, la Palestine occupée vit des moments similaires : une occupation violente, un peuple révolté, une résistance armée légitime et des accusations malhonnêtes de « terrorisme » de la part de l’occupant et de ses alliés.
Aujourd’hui, les mouvements antifascistes, anti-impérialistes et anti-sionistes sont les héritiers spirituels de cette résistance lyonnaise héroïque.
Et c’est très logiquement qu’ils soutiennent les revendications légitimes du peuple palestinien sous occupation ainsi que de toute sa résistance armée légitime.
Malheureusement, l’Occident collectif et ses relais locaux en France se sont déclarés plus proches des impérialistes et des sionistes alliés à l’extrême droite islamophobe dans leur haine commune contre tous ceux qui aspirent à l’épanouissement des peuples et à leur libération.
Nos militants aujourd’hui combattant l’arbitraire et l’injustice, ces héritiers de la résistance contre l’occupant nazie, se retrouvent trop souvent stigmatisés et criminalisés par les autorités de l’Etat et ses relais médiatiques.
Cette criminalisation des militants antisionistes, anti-impérialistes et antifascistes constitue une insulte à la mémoire des résistants, qui se sont battus pour la liberté et la justice.
La collaboration de l’Etat français avec l’entité fasciste, colonialiste et raciste est aussi une trahison et une honte face aux sacrifices des résistants français.
L’Etat français aujourd’hui soutient, protège et arme en Palestine occupée ceux que la résistance française combattait hier.
Hier, ils s’appelaient nazis. Aujourd’hui ils se présentent comme sionistes. Deux idéologies qui ont les mêmes fondamentaux : haine de l’Autre, suprématie raciale, culte de la violence, colonialisme, domination.
À l’occasion de ce 80e anniversaire, il est plus que jamais crucial de se souvenir de la lutte des résistants et de défendre leur héritage.
Lyon doit honorer cette mémoire en soutenant ceux qui, aujourd’hui encore, luttent contre le sionisme, l’impérialisme et le fascisme. Ne laissons pas les sacrifices des résistants être dévoyés ou oubliés.
En nous inspirant de leur courage, de leur audace et de leur détermination, nous devons continuer à lutter contre l’injustice et l’arbitraire.
Les amis de Jean Moulin et de Lucie Aubrac ont mis leur devoir de conscience au dessus de tout, ils sont devenus hors-la-loi car se soumettre au cadre de la loi de l’occupant signifiait trahir.
[Que Dieu ne nous compte pas parmi les traîtres].
Source : Telegram – Nouvelles de Palestine
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