Rafah : les bombes incendiaires ont calciné des civils dont des enfants
Après les massacres de Rafah, quand le monde va-t-il enfin se réveiller et mettre fin à l’épuration ethnique (un génocide avéré de jour en jour) qui se déroule en Palestine occupée, conduite par le criminel de guerre sioniste Benjamin Netanyahou ? Quand la Palestine retrouvera-t-elle la paix et la stabilité auxquels elle a droit ?
Combien de morts civils, d’enfants décapités, de femmes violées et assassinées, faudra-t-il encore pour que la conscience humaine s’éveille enfin, dans ce monde livré aux crimes, à la barbarie et au silence des lâches ?
Le monde politique occidental, celui qui se targue d’être une civilisation à la pointe des Droits de l’homme, n’a plus de conscience ; il a perdu sa boussole, ne sachant plus distinguer le Bien du Mal. Il a bradé sa conscience humaine contre un « dieu dollar » et s’est arrogé le pouvoir au nom d’une liberté illusoire et permise aux seuls puissants détenteurs d’un pouvoir.
Ce sont les peuples libres, humains, souverains et attentifs aux injustices qui pourront encore changer et sauver ce qui peut l’être encore dans un monde enlisé dans la violence, les souffrances, les guerres et les injustices.
La diplomate américaine Nikki Haley signe les obus israéliens destinés à Gaza et au Liban avec les mots « terminez-les » ! Elle est belle la démocratie américaine. Cette Nikki Haley cautionne tranquillement un génocide en cours à GAZA.
De Rafah à New-York les victimes du capitalisme sauvage sont les mêmes
Comme dans les dictatures, qui étaient prises pour cible par les bien-pensants occidentaux, c’est la rue qui va renvoyer les dirigeants corrompus et ne pensant qu’à leurs seules carrières personnelles, à ce qu’ils étaient avant d’être élus, c’est-à-dire des anonymes. Le peuple donne un pouvoir aux élus mais il a aussi le droit de tout reprendre s’il le juge nécessaire.
Le pouvoir appartient aux peuples du monde. A eux de s’organiser, de bâtir un autre monde où l’humain sera au centre de tout projet.
Ces ultracapitalistes nous proposent un monde où l’argent domine, décide, jette à la rue ceux ne pouvant suivre le rythme infernal imposé par la règle du « marche ou crève ». Les flux boursiers et les indices des multinationales sont leurs baromètres. Les décideurs de ces idéologies funestes sont ceux qui commettent un génocide à Gaza et des crimes de guerre en Cisjordanie.
Ecoutez cette racaille en col blanc qui veut nous guider, comme si nous étions incapables de penser par nous-mêmes ; leur point commun : ils sont tous sionistes.
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