Gaza, la cité où se déroulent des meurtres et des assassinats autorisés
Gaza sous les décombres et les ruines. Une entité sioniste, prétendument dénommée Israël, qui colonise, spolie, confisque et massacre à sa guise une population sans défense, réduite au silence par une communautés internationale coupable et complice par ses silences assourdissants. Qui peut encore croire en ce monde où les forts écrasent les faibles, où les puissants piétinent les misérables ?
Aveugle et sourde, cette communauté internationale n’ose même plus montrer les images d’un carnage, un génocide, un massacre de tout un peuple auquel est reproché un seul crime : celui de revendiquer ses droits à exister en tant que peuple.
Gaza, cité martyre, agonise, tandis que l’Union Européenne, les USA et ses alliés accusent la résistance palestinienne de terrorisme dans une propagande bien huilée. On provoque, on attend la réaction la plus violent possible, et ensuite on accuse de terrorites les Résistants. Les sionistes sont passés maîtres de ces techniques de propagande.
La communauté internationale a créé un Etat, sur le dos des Palestiniens, en 1948, pour se débarrasser des Juifs rescapés d’une extermination initiée en Europe par des Blancs germaniques. Depuis, cette entité criminelle n’a eu de cesse de créer des divisions, principalement dans le monde arabe, de semer la terreur, de faire couler le sang à flot, de voler et de spolier de malheureux Palestiniens, dans toute la région du Moyen-Orient. Fauteuse de troubles, cette entité va exceller dans ses méfaits.
Le dernier régime à appliquer l’apartheid, la colonisation, l’extrémisme religieux fanatique et raciste, n’est autre qu’Israël. La bonne trouvaille d’un Occident qui se croit et se pense invincible. Combien avant lui ont cru en cette chimère, cet idéalisme ? Ils ont tous été, un à un, vaincus, un jour ou l’autre. Israël tombera comme sont tombés tous les régimes fascistes et colonialistes.
Gaza conservera des stigmates qui resteront gravés à jamais dans les consciences. Ce qui se passe à GAZA a fait descendre dans la rue — dans le monde entier — des centaines de millions de manifestants apeurés, choqués, effrayés, dégoûtés, écœurés par cette entité sioniste qui n’épargne ni enfants, ni femmes, ni vieillards, ni même les malades. Tout est bombardé, rien n’est épargné : écoles, hôpitaux, églises, mosquées, sièges des ONG ; même des journalistes sont assassinés en direct.
Trois quarts des humains de la Planète Terre condamnent cette entité criminelle. Les Juifs eux-mêmes tentent de fuir ce foyer qu’on leur avait décrit et vendu comme étant un refuge, un havre de paix pour tout juif persécuté. La réalité est que, aujourd’hui, l’endroit le moins sûr pour les juifs, c’est cet état maudit qu’est Israël. Maudit, le mot qui poursuit les renégats dans la Bible même.
Mais les Juifs ne peuvent s’enfuir de ce « paradis », cette « terre promise ». Ils sont retenus en otages par les sionismes. Ceux-là même qui substituent le sionisme au judaïsme. Ce que Dieu refusa aux Juifs, les sionistes leur offrirent. Mais à quel prix ?
Gaza restera la ville du début de la fin d’un mythe, celui d’un « Etat artificiel » qui va devoir rendre des comptes, et l’histoire est lourde, comme lourds seront ces fardeaux qu’une fois de plus le prétendu peuple élu devra porter jusqu’à la fin des temps.
Touhami – INFOSPLUS