Israël sombre dans la spirale de la violence et de la vengeance au Proche-Orient

Israël sombre dans la spirale de la violence et de la vengeance au Proche-Orient
Israël sombre dans la spirale de la violence et de la vengeance au Proche-Orient

Israël montre son vrai visage à chaque jour passant. Il confine 2 millions de personnes dans une prison à ciel ouvert (GAZA) puis lorsque les gens cherchent à s’échapper de ce camp, ils sont tués au nom du sacro-saint droit d’Israël à se défendre. Cet Etat voyou colonise et viole le droit international impunément depuis des décennies

Israël : la vengeance et la haine au service d’une guerre continue   

Israël sombre dans les pénombres de la vengeance, de la haine aveugle. Plus rien ne semble retenir le Premier ministre Benjamin Netanyahu (principal allié sûr de l’extrême droite israélienne raciste, fasciste, xénophobe) dans sa folie guerrière et meurtrière. Cette haine, animée par une longue histoire entrecoupée de massacres, de pogroms, de persécutions et d’exterminations à travers les siècles écoulés – souvenons-nous de l’affaire Dreyfus (déroulée France) et de l’épuration ethnique (la Shoah) entreprise en Europe même par les nazis du IIIe Reich et leurs alliés –, a fini par ronger définitivement le cœur d’Israël et le rendre insensible, inhumain, tueur et exterminateur, y compris de femmes et d’enfants. Le ciel au-dessus d’Israël s’est assombri ; Dieu (Allah ; l’Eternel ; El-Elohim…) redoute très certainement (il n’y a d’assurance et de certitude qu’en Lui) un remake de l’épisode du « Veau d’or » vécu au pied du Mont Sinaï lorsque les hébreux se corrompirent à Sa face. La Bible et le Coran l’attestent. La Thora également par ces propos honteux et sans équivoque : « Voici ton dieu, oh Israël ! » (Le Veau d’or, confectionné par la fonte des bijoux des femmes présentes). La guerre au Proche-Orient a été programmée, mise en application par l’idéologie sioniste, celle-là même qui conspirait déjà contre les Palestiniens, dès la fondation du mouvement sioniste, par Theodor Herzl, au congrès de Bâle en 1897. La suite est connue.

Israël né de la volonté de L’ONU et de la communauté internationale

Mais ce que le Messager et Prophète de Dieu, Moïse (Paix et salut sur lui) ne put donner à Israël (la terre promise) en raison du courroux du Créateur, une instance dirigeante internationale, la voix du monde, va pourtant l’accomplir. En effet, culpabilisés et littéralement mis à genoux et sommés de présenter des excuses à raison de « cinq fois » par jour, au lendemain de la seconde guerre mondiale, les dirigeants Européens, Américains et Russes (URSS, à l’époque) vont réaliser ce « mini miracle » tant espéré et attendu par les Juifs de la diaspora. L’ONU procèdera à la création politique d’un Etat-refuge juif et sioniste en 1948. Du jamais vu dans l’histoire. Ainsi, la terrible Shoah enfantera dans ses malheurs passés, et malgré elle, un autre grand malheur, celui de la Nakba (Catastrophe, en arabe). Tous les ans, Israël fête son Etat le 14 mai et le lendemain (15 mai) les Palestiniens sont en deuil en mémoire de la Nakba. Sous le regard pétrifié, impuissant, parfois épris de remords, d’une communauté internationale prisonnière du sionisme, comptant les morts (principalement palestiniens) et appelant à la retenue des uns et des autres. Mais comme tous ses prédécesseurs, Benjamin Netanyahu a compris la clé du problème : Israël est, avant tout autre prétexte, né de l’antisémitisme. Et pour survivre, il doit entretenir cet antisémitisme. Tel le ver né dans le fruit et se nourrissant ce de fruit, tout en nourrissant lui-même le fruit.  

Israël, les Palestiniens et le Monde arabe 

Comme je l’ai déjà dit et écrit, ce n’est pas Israël qui est puissant, ce sont les pays Arabes qui sont devenus faibles. Engraissés et bedonnés par l’argent qui coule à flot à chaque baril de pétrole extrait des territoires propriétés de tous les Arabes, les émirs des monarchies pétrolières ont laissé tomber, voire sacrifier leurs frères Palestiniens, pour d’autres causes, comme le dernier ralliement de l’Egypte et de l’Arabie Saoudite à Israël en vue de contrer l’Iran. C’est oublier un peu trop vite la fierté et la dignité des Arabes. Je n’évoquerai pas ici l’Irak, la Lybie et la Syrie, totalement détruits par les fournisseurs d’une démocratie occidentale vendue en kit complet, mais sans mode d’emploi, ni service après-vente, et livrée en Tornado et F15 dernier cri. Ces mêmes démocraties occidentales qui vivaient hier directement des matières premières des pays arabo-berbères (colonialisme), et qui aujourd’hui continuent de les piller par un néocolonialisme vipère et destructeur. Cependant, dans ce prolongement du colonialisme évoqué, ce qui parait fondamental à retenir, c’est certes la victoire militaire d’Israël à chaque guerre qu’il a affrontée, mais c’est surtout sa cinglante défaite politique. En effet, 70 ans après son apparition au Proche-Orient, Israël n’est toujours pas admis dans la région. Et s’il l’est, il ne le doit qu’à sa force militaire. Or, on sait que toute puissance, voire empire, bâtie exclusivement sur la force s’écroule irrémédiablement lorsque cette force s’amenuise, puis se fracasse, confrontée à plus fort. Un jour ou l’autre, on finit toujours par trouver son maître.

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